C'est la raison pour laquelle nous sommes très favorables à l'adoption de l'article 2 ter. Nous estimons que l'immersion, outre le fait qu'elle n'est jamais imposée, ne soustrait pas les élèves concernés aux droits et obligations qui s'appliquent à l'ensemble des écoliers français. C'est pourquoi, monsieur le ministre, si vous avez raison lorsque vous affirmez que l'enseignement immersif doit rester l'exception, il faut le conforter et ne pas le laisser à l'état d'expérimentation.