Bien sûr que si ! Il existera des groupes toujours plus actifs et attractifs. Cela explique certaines réussites : de nombreux acteurs déploient beaucoup d'énergie pour ces écoles. Les parents concernés sont très attentifs à l'éducation que leurs enfants reçoivent – j'ai étudié ce sujet de près. D'autres questions sont mélangées : la situation des Amérindiens de Guyane est différente de celle des enfants de personnes très instruites du Pays basque. Il faut être juste et mesuré pour aborder ces questions, et éviter de perdre l'enjeu…