mais je considère que votre façon de présider, en refusant de nous laisser défendre nos amendements, ou en présupposant que nous les défendons de la même façon et pour les mêmes raisons que d'autres collègues, est quelque peu disproportionnée.
Vous semblez, monsieur le président, pressé de pouvoir aborder le texte suivant inscrit à l'ordre du jour, et je partage votre intérêt pour son sujet. Acceptez néanmoins de débattre sereinement du présent texte relatif aux langues régionales, une question importante pour certains d'entre nous, puisqu'elle concerne notre langue maternelle. Votre manière de présider ne permet pas une telle sérénité.