Le présent amendement, pour lequel j'attendrai les réponses du rapporteur et du ministre, propose de préciser que nous parlons des langues régionales « de France ». Il répond à votre objection implicite, monsieur le ministre, d'un risque de séparatisme. Certains parlent plus ouvertement, en disant que le texte ouvre la porte à d'autres langues, les langues étrangères issues du Maghreb. Nous nous inspirons d'ailleurs des dispositions de la charte européenne des langues régionales.