Il faut suivre, surtout pour ceux qui n'ont pas l'habitude et qui sont aux ordres !
Monsieur le ministre, donner une telle précision revient à évacuer la difficulté que vous avez évoquée, même si vous n'en avez pas explicité les raisons. Nous voulons protéger les langues de la France métropolitaine et de celle d'outre-mer. Nous refusons une ouverture à des langues d'origine étrangère, qui relèvent d'un autre débat, même s'il est légitime, car seules « les langues régionales appartiennent au patrimoine de la France », en vertu de l'article 75-1 de la Constitution.