J'espère que votre souci des finances publiques, qui semble être le seul moteur de ce texte, vous amènera ainsi à soutenir nos propositions.
En nouvelle lecture, les possibilités d'amendements – donc de propositions – sont limitées, mais je tiens à rappeler que les mesures de bon sens que nous vous avons proposées en première lecture ont été balayées d'un revers de la main. Dire que vous avez même refusé notre proposition de couper les aides sociales aux familles de djihadistes !