Ce n'est pas vrai, ma chère collègue. Résultat des courses : zéro !
Madame la ministre, nous sommes déçus car, au lieu d'une vraie rupture, nous assistons à la persistance des rustines et autres tours de passe-passe de vos prédécesseurs socialistes.
Nos collègues sénateurs ont réussi à exonérer les Français de l'étranger de ces prélèvements injustes avant que la commission des finances de l'Assemblée nationale ne propose, en nouvelle lecture, de les rétablir à nouveau. Hélas ! compte tenu des règles relatives au dépôt d'amendements au cours de la navette, je ne peux plus déposer d'amendement de suppression, mais je défendrai tout à l'heure un autre amendement, no 74 .
Madame la ministre, les Français de l'étranger sont une richesse : il y a parmi eux des entrepreneurs, des étudiants…