Si, je vous assure : c'était peut-être le cas pour les biocarburants de première génération, mais les appels à manifestation d'intérêt que nous avons passés, qui sont actuellement à l'étude, doivent permettre de faire naître une filière des biocarburants qui ne sera pas en concurrence avec les terres agricoles. Cela nous distingue d'ailleurs de la production d'autres pays européens, qui cultivent parfois les biocarburants de façon dédiée. La France ne le fait pas, elle ne le fera pas plus à l'avenir.