Intervention de Nicolas Dupont-Aignan

Réunion du mercredi 27 mai 2020 à 10h30
Commission des affaires étrangères

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Dupont-Aignan :

Je voulais vous poser une première question qui a déjà été abordée et j'irais donc très vite, qui concerne les différences de situation dans les divers pays africains. Comment les expliquez-vous ?

Ma deuxième question concerne le fameux débat sur l'hydroxychloroquine qui passionne les Français, avec l'interdiction ce matin dans notre pays de ce traitement alors même qu'il est généralisé dans beaucoup de pays, notamment l'Inde, qui a décidé d'étendre son utilisation à titre préventif. Vous-même, vous nous avez dit lors de votre introduction qu'il permettait de réduire les périodes d'hospitalisation. Sans vouloir vous obliger à rentrer dans un débat passionnel français, j'aimerais avoir votre sentiment sur ce traitement et d'une manière générale sur la remarque de beaucoup de professeurs, j'ai entendu me semble-t-il le professeur Christian Perronne là-dessus, nous disant qu'il y quand même un paradoxe dans cette crise du covid-19 : le plus grand nombre de victimes se trouve dans les pays les plus riches, tandis qu'en Afrique, l'épidémie semble nettement moins importante et s'être tout du moins stabilisée pour l'instant. Certains attribuent d'ailleurs la résistance de l'Afrique à l'épidémie au traitement qui est pris contre le paludisme. Qu'est-ce que vous pensez de toutes ces affirmations ? Car nos concitoyens n'y comprennent plus rien.

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