Merci, monsieur le ministre, de vos réponses.
Il faut vraiment que vous nous entendiez quand nous vous disons que nous avons besoin de changements : il importe de garder ce qui doit l'être mais aussi de changer ce qui doit l'être. Avec la crise, nous avons vu ce qui marchait et ce qui marchait moins bien. Qu'il s'agisse du commerce international ou du tourisme, une réelle évolution sera nécessaire. Peut-être parviendrons-nous à réconcilier les opinions publiques et la direction politique de l'Europe si nous, Européens, sommes les premiers à contribuer à un monde plus juste, moins inégalitaire, dans lequel les échanges seraient plus loyaux.