. Absolument. Nous sommes engagés, comme je venais de le dire, sur ce chemin-là. Nous connaissons les difficultés et les contraintes possibles. Mais nous devons négocier. Négocier, tout en gardant et insistant sur certains facteurs importants concernant le pays. Il y a des choses sur lesquelles, peut-être, on ne peut pas céder, mais nous sommes très conscients que c'est une question de négociations qui ne sont pas des négociations faciles. C'est dans l'intérêt de la société internationale, c'est dans l'intérêt des acteurs principaux, des États aussi, des instances internationales, d'aider le Liban. Nous ne sommes pas en train de demander de l'aide sans conditions. Nous sommes en train de demander un accompagnement, un dialogue continu, que ce soit avec le FMI ou avec d'autres. Nous sommes en train d'avancer. Peut-être, pour certains, on avance lentement, mais nous avons pris ce chemin, nous allons rester sur ce chemin.