. Merci beaucoup, monsieur le ministre. Merci beaucoup de ce moment passé avec nous tous. Tout le monde vous a demandé ce que le France pouvait faire pour le Liban. Je crois que vous y avez répondu. En tous les cas, nous sommes là, nous continuerons d'être là dans cette relation qui est très particulière entre nos deux pays et qui n'est pas qu'une relation diplomatique ou politique ou géostratégique. C'est d'abord une relation affective ou affectueuse, dans tous les sens du terme. Et je pense que dans les temps dans lesquels nous sommes, qui ne sont pas des temps faciles, c'est très important aussi. Nous saurons être présents concrètement lorsqu'il s'agira de faire les choses et de défendre un certain nombre de grandes orientations, y compris dans le cadre européen. Dans tous les cas, le Liban peut compter sur la France et nous souhaitons le meilleur, le meilleur à votre pays et à ses habitants.