Les points listés pour figurer dans le rapport annuel du Gouvernement relèvent plutôt de l'aide multilatérale, notamment de la transparence qui doit l'accompagner. Or il serait également important qu'y soit analysée notre aide bilatérale : quels sont les choix de la France en la matière ? Quelles sont les parts respectives des prêts et des dons ? Quelle proportion va aux secteurs prioritaires définis par le comité interministériel de la coopération internationale et du développement (CICID) en 2018 ? Quelle part est attribuée aux pays prioritaires ?
Ce rapport est une bonne idée pour une bonne information du Parlement, mais je ne vois pas pourquoi on en exclurait l'aide binationale. Tel est le sens de l'amendement AE514.