L'écrasante majorité de l'aide au développement passe par l'Union européenne, mais aussi par la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (FMI) ou les banques africaine, asiatique et interaméricaine de développement. Il conviendrait que le rapport gouvernemental éclaire la position promue par la France dans ces instances. Sur la question de l'effacement des dettes, par exemple, la Banque mondiale a, pour des raisons juridiques, une position qui n'est pas la même que la nôtre. Il faut que le Parlement en soit informé, pour appréhender jusqu'où aller dans ce type de politique sans que l'une et l'autre position entrent en opposition.