Je ne vois pas en quoi il serait grossier, de la part des parlementaires français, d'évoquer les modes de fonctionnement des pays que nous aidons au travers de notre aide publique au développement, surtout s'il s'agit de lutter contre la corruption. Nous parlons d'argent public : c'est l'argent des Français, le fruit de leur travail, du travail de nos entreprises. Je ne vois pas où est la grossièreté à évoquer ces questions, que ce soit en séance publique ou en commission. Notre rôle est aussi de contrôler la manière dont est utilisé l'argent public.