Je ne donnerai pas la position du Gouvernement, car le Parlement est le mieux placé pour choisir son mode d'organisation. Je dirai simplement à M. Lecoq que, loin de nous sentir contraints, nous serons heureux de venir, si le Parlement nous y invite. Les débats en séance publique dédiés aux sujets internationaux n'encombrent pas l'ordre du jour et nous ne verrons aucun inconvénient à y participer. D'ailleurs, en 2017, j'avais convenu avec Marielle de Sarnez qu'avant chaque réunion des ministres du commerce de l'Union européenne, je présenterais à la commission des affaires étrangères les positions de la France et le calendrier prévu. J'ai moi-même plaidé pour vous rendre des comptes régulièrement. Il ne fait aucun doute que le Gouvernement pourra débattre de ces sujets avec vous.