Le secrétaire d'État que je suis souscrit naturellement aux propos tenus ce matin par le ministre. Je confirme que nous avons bien intégré cette dimension dans le travail relatif à la recomposition du CNDSI, qui comprend déjà, me semble-t-il, une personne représentant les diasporas. Il n'y a pas d'inquiétude à avoir : le souhait d'une meilleure intégration des diasporas dans ces instances est pleinement pris en compte. Il n'est pas nécessaire de prévoir une telle disposition au niveau législatif.