Madame la ministre, la France accueillera l'UICN du 3 au 11 septembre prochain à Marseille, étape majeure dans l'élaboration d'un cadre international ambitieux pour la protection du vivant. Je pense à l'Afrique et à la protection de la faune et de la flore africaines, qui constituent un immense réservoir pour la biodiversité. Depuis le discours de Ouagadougou, nous avons changé de paradigme en Afrique, avec un partenariat coconstruit avec les diasporas africaines, qui sont à l'avant-garde de la nouvelle relation. Le nouveau texte sur l'aide publique au développement l'a prouvé : il s'agit de faire avec et non pour. Les diasporas africaines sont-elles associées à la préparation de ce bel événement ?