Déjà fragile, l'outre-mer craint le pire. Si la solidarité entre territoires joue dans l'hexagone – nous l'avons vu avec les transferts de patients assurés par l'armée –, elle est très difficile à mettre en œuvre dans ces départements et collectivités éloignés. Certes deux bâtiments sont déjà sur place et un A400M est prévu pour la Polynésie. Est-il prévu une montée en puissance des moyens de secours s'ils sont confrontés à une aggravation de l'épidémie ? Des mécanismes de solidarité avec les pays voisins sont-ils envisagés afin d'assurer un soutien mutuel ?