Si les atteintes aux personnes ont globalement diminué au cours du mois de mars, les violences intrafamiliales ont augmenté de 33 % et entraîné une hausse de 41 % de vos interventions en ce domaine. Compte tenu des contraintes liées à la nature de ces infractions et au contexte du confinement, ne pouvons-nous pas craindre une sous-évaluation de ces violences ?