Le secrétaire général a déclaré que l'Alliance atlantique était disposée à apporter son soutien au gouvernement de Tripoli. Après l'offensive du 4 avril du général Haftar, le gouvernement français a désapprouvé le recours à la violence et, quelques mois plus tard, le New York Times a révélé la présence de missiles français sur le sol libyen. Sommes-nous impliqués dans la persistance du chaos ?