Dans les zones de défense, les secrétaires généraux ou les officiers généraux semblent avoir été peu mobilisés. Comment la coordination a-t-elle été assurée au sein des centres opérationnels de zone ? Avez-vous ressenti un manque de personnel, notamment réserviste, pour des missions de décontamination ?
Des évolutions importantes de dimensionnement sont-elles nécessaires pour faire face à un virus plus virulent ou à des attaques bactériologiques ou chimiques terroristes ?