La filière aéronautique se trouve en difficulté du fait de la crise sanitaire. En particulier, des engagements portant sur les hélicoptères ont été reportés ou annulés. Or nos armées, qu'il s'agisse de la gendarmerie, des différentes armées déployées notamment au Sahel, ou de la sécurité civile, ont de grands besoins en termes d'aéromobilité.
Les ministères des armées et de l'intérieur pensent-ils compenser cette perte de commandes, sachant que l'État reste actionnaire à 11 % de certains groupes fabricants d'hélicoptères ?