Le terme de « dissuasion » est devenu rare dans le vocabulaire de l'armée de Terre, puisque depuis le retrait des missiles Hadès, celle-ci ne dispose plus de force nucléaire. Cependant, vous avez dit : « Une armée prête au combat est capable de dissuader ses adversaires potentiels ». Quel est le rôle de l'armée de Terre dans cette dissuasion non nucléaire ?
La guerre de l'information est un autre champ inhabituel, mais l'adversaire pourrait chercher à contourner la force en remportant la bataille de l'information. Quel est le rôle de l'armée de Terre dans le champ informationnel à l'horizon 2030 ?
Enfin, mon collègue Jean-Charles Larsonneur, retenu dans une autre réunion, souhaite poser la question suivante : votre vision stratégique prend-elle en compte le besoin d'intégration interarmées et international révélé par la guerre de haute intensité ?