Vous dites que notre pays doit être prêt à déployer un plus gros volume d'armées de Terre. En plus des OPEX, nos armées sont désormais engagées dans des opérations intérieures de lutte contre le risque terroriste et plus récemment le risque sanitaire : nous avons tous apprécié la mobilisation de l'armée de Terre dans l'opération Résilience. Mais dans votre nouvelle vision stratégique, quel volume supplémentaire d'hommes préconisez-vous et quelle part correspondrait à un développement de la réserve ?