Nous nous sommes également rendus à Washington, afin d'échanger avec des représentants du Pentagone et du Département d'État, mais également nos homologues, ainsi que des chercheurs et les responsables de la campagne internationale « To Stop Killer Robots ».
À Bruxelles, nous avons notamment rencontré les équipes de Josep Borrell, et si le confinement a eu raison de notre projet de déplacement à Genève, nous avons quand même auditionné, en visioconférence, notre ambassadeur auprès de la Conférence du désarmement et les représentants du Comité international de la Croix Rouge, gardien du temple du droit international humanitaire : le DIH.
Ce large tour d'horizon nous a permis de mieux comprendre les enjeux d'une question qui, à elle seule, illustre les problématiques de l'intelligence artificielle de défense.