Ma question porte sur l'encadrement juridique des SALA. La France a remporté à Genève un succès diplomatique certain, en faisant reconnaître par la communauté internationale onze principes sur les SALA. Pouvez-vous nous en dire davantage sur ce nouvel instrument ?
Plus largement, dans le fond, comment légiférer sur un sujet qui est encore loin d'être stabilisé, ne serait-ce que parce que l'intelligence artificielle constitue une technologie encore très évolutive ? Finalement, les SALA ne seront-ils pas un sujet pour la prochaine révision de nos lois de bioéthique, dans cinq ans ?