Je salue notre collègue Joaquim Pueyo, qui était également un membre actif de la commission des Affaires européennes.
Je souhaiterais évoquer le service de santé des armées. Ce service a été fortement sollicité à l'occasion de l'opération Résilience, en métropole et dans les outre-mer. Mais ce service est aujourd'hui en sous-effectifs. Ne faudrait-il pas tirer les conséquences de la crise de la Covid-19 en le renforçant dans la prochaine loi de programmation militaire, en particulier eu égard au risque d'une deuxième vague ?