L'effort que vous consentez en Méditerranée, dans le contexte complexe d'une Europe si timide, d'une OTAN si hostile, de finances publiques dans l'état que nous savons et de la déconnexion manifeste entre les opinions publiques et la situation réelle, vous permet-il d'assurer la protection de la deuxième puissance maritime du monde et des bouts de France dans tant de mers et d'océans ? N'aurait-il pas fallu prévoir un autre porte-avions ?