Monsieur le chef d'état‑major, en dépit de la crise de la Covid-19 et de l'engagement sur l'opération Résilience, que je tiens à saluer, notamment en région PACA où j'ai collaboré à l'agence régionale de santé (ARS), et de l'opération Amitié pour le Liban, la préparation opérationnelle a pu être maintenue.
Que pouvez-vous cependant nous dire des normes d'entraînement, non pas en jours d'entraînement par homme, qui est la norme que vous avez citée, mais en vous appuyant sur la norme LPM qui, pour l'armée de Terre, peine à atteindre les 56 %, quand la marine et l'armée de l'air sont proches de leur cible ?
Vous avez affirmé : « Une armée n'est rien sans entraînement ». Quelle réponse envisagez-vous dans l'hypothèse d'un engagement de haute intensité ? Qu'en est-il notamment de l'évaluation de la charge soutenable du programme Sentinelle ?