Vous avez parlé du développement du RVIM et de l'EIGS. Certains échos font état de tentatives de déstabilisation en Côte-d'Ivoire, pays riverain du Mali où des élections viennent d'être organisées. Quel est votre sentiment là-dessus ?
Je suis convaincu que la sécurité de Paris se gagne à Niamey et à Gao et que la présence de Barkhane est indispensable. Néanmoins, si nous avions la fâcheuse idée d'envisager un retrait, quelles conséquences migratoires en résulteraient ?