Évoquant le pourcentage relatif des forces de nos partenaires, passé de 25 à 50 %, vous avez dit qu'il serait bien de passer à 25 % de forces françaises et 75 % de forces sahéliennes. À quelle échéance cette répartition pourrait-elle être atteinte ?
Lors de notre déplacement, il nous a semblé comprendre qu'en arrivant sur le théâtre, nos militaires devaient d'abord « reprendre leur machine en main », faute d'avoir pu s'entraîner suffisamment en France. Cela semble le cas pour le pilotage de certains véhicules et le tir. La préparation opérationnelle de nos militaires est-elle satisfaisante ? La sursollicitation de nos militaires est-elle un facteur limitant de la préparation opérationnelle ?