À l'automne dernier, le ministre de la justice, M. Dupont‑Moretti affirmait être favorable à l'encadrement militaire de certains mineurs ou jeunes majeurs délinquants. Certes, cette proposition n'est pas nouvelle et a d'ailleurs été raillée d'un bord à l'autre de l'échiquier politique, mais sa persistance dans le débat public incite à étudier les conditions techniques de sa mise en œuvre. Le garde des Sceaux a annoncé travailler avec le ministère des armées. Cette piste est-elle à l'étude ?