Lorsque nous nous sommes rendus au Moyen-Orient, avec la présidente et notre collègue Philippe Meyer, dans le cadre de la mission d'information sur la stabilité au Moyen-Orient dans la perspective de l'après Chammal, nous avons constaté les capacités en drones et en missiles de l'Iran et des milices chiites dans la région. Que vous inspire cette situation ? Quel regard portez-vous sur les initiatives et les programmes engagés par la DGA sur les drones, ainsi que sur le rythme suivi par la direction ?