Au bout de quatre ans, la LPM est entrée dans une phase clairement opérationnelle et ses effets deviennent tangibles : hier encore, au port militaire de Brest, je posais la première pierre d'un chantier colossal et indispensable de 60 millions d'euros qui n'aurait pas été possible sans elle.
La France a pris pour deux ans la présidence du symposium naval de l'océan Indien (Indian Ocean Naval Symposium, IONS), ce qui est passé un peu inaperçu. Dans le contexte indo-pacifique actuel, qu'en attendez-vous, en particulier en 2022 ?