J'ai quant à moi rencontré les agents du centre d'appels de l'ONACVG, qui se trouve à Caen, dans le département où je suis élu. Ils sont déjà débordés d'appels, mais ne sont pas submergés. À ce stade, le projet de loi n'ayant pas encore été adopté, ils n'ont pas de réponses précises à donner aux harkis et à leurs familles. En tout cas, ils gèrent la situation, et je ne doute pas qu'ils seront capables de répondre aux attentes le moment venu.