Nous n'avons aucune raison de nous opposer à cette proposition de loi, qui a une portée essentiellement symbolique. Ce qui nous importe, c'est que l'ONACVG ait les moyens financiers et humains de continuer de mener son action, notamment sociale, aussi bien à Paris qu'à Caen et dans tous nos départements. Le budget de l'action sociale stagne autour de 25 ou 26 millions d'euros depuis des années : au moins ne diminue-t-il pas. Mais nous devons rester très vigilants et veiller à la préservation du maillage territorial de l'ONACVG, auquel nous sommes très attachés.