Je n'ai pas de liens d'intérêt.
C'est un problème global à l'ensemble des méthodes de lutte antivectorielle qui n'ont pas de preuve indéniable, mis à part l'exemple qu'a cité Catherine Goldstein. En dehors de ces exemples limités et de méthodes portant de lourdes conséquences pour l'environnement, il n'y a pas de preuve patente d'efficacité en matière de transmission de maladies, même si l'on utilise un répulsif ou une méthode chimique classique, avec tous les avantages et les inconvénients que cela pose.