Vous indiquez que : « Dans les départements, régions et collectivités d'outre-mer exposés de manière récurrente aux maladies […], l'appréciation par les populations sera nécessairement différente de celle des territoires métropolitains où les conditions géographiques, le mode de vie et l'exposition ne sont pas identiques. » Pensez-vous que l'acceptabilité sociale des coûts-avantages de cette méthode de lutte est suffisante en outre-mer et par voie de conséquence, en France hexagonale aussi ?