Au plan européen, nous sommes désormais reconnus par le réseau équivalent au nôtre au Royaume-Uni, avec lequel nous avons organisé de véritables collaborations. Sur le coronavirus Covid-19, par exemple, nous avons pu établir avec eux des outils, des questionnaires, des protocoles, qui nous permettent d'aller beaucoup plus vite. Il est vrai que la taille de l'organisme britannique est plus importante et qu'il bénéficie de financements beaucoup plus conséquents, de sorte qu'il a un petit temps d'avance sur nous. Mais nous sommes désormais reconnus au niveau européen et nous commençons à l'être au niveau international puisque nous participons à certaines discussions avec le groupe Blueprint consacré aux maladies émergentes et l'OMS. Les collaborations internationales ont véritablement monté en puissance au cours des dernières années, particulièrement depuis l'émergence de Covid-19.