Pour notre part, en tant qu'organisme de transfert de technologies, nous essayons de pourvoir une licence à une société existante avant de créer une start-up. Outre que nous ne voulons pas créer de concurrent, le développement est généralement plus rapide en s'appuyant sur une société existante.
C'est peut-être une culture à pousser auprès de l'ensemble des opérateurs qui interviennent dans ce domaine. Je ne suis pas certaine que Bpifrance se pose la question de l'existence ou non d'une société qui porterait un projet similaire dans l'attribution des aides. Si ces questions sont posées à chaque étape du développement d'un projet par l'ensemble d'un acteur, on arrivera plus facilement à effectuer les rapprochements mentionnés par Mme Pascale Augé.