Non. Si nous le voulions, il nous faudrait embarquer dans le dossier de consultation des entreprises un critère qui nous permette de différencier une entreprise ou la matière première qui viendrait hors de l'Union européenne (UE). C'est ce que nous faisons actuellement avec un marché de gants.
C'est aussi ce que nous prévoyons pour un appel d'offres de masques qui sera publié la semaine prochaine. Nous avons intégré dans le cahier des charges la nécessité d'une matière première provenant de l'UE ou des ateliers de fabrication situés dans l'espace européen.