Je distinguerai deux volets.
Il y a tout d'abord la question juridique. Elle est réglée comme en témoigne le marché de gants que nous avons passé, dont les modalités n'ont pas été remises en cause par le juge.
Il y a ensuite la modalité du travail d'acheteur. La manière d'acheter est encore en retrait au regard des meilleures pratiques des entreprises privées.
L'enjeu est que les acheteurs aient une taille critique suffisante pour pouvoir piloter un panel de fournisseurs comme le font les entreprises privées, et s'assurer que les déclarations de ces entreprises sont réelles.