Sur l'innovation thérapeutique, nous avons un système français particulièrement performant pour l'accès à l'innovation.
Nous avons beaucoup d'innovations de niche qui donnent souvent des résultats qui sont sans commune mesure avec ce qui a été fait auparavant à des coûts qu'il serait intéressant de consolider.
Ensuite, les indications sur ces nouvelles molécules sont de plus en plus encadrées par les professionnels. Il y a aussi un travail autour d'un paiement à la performance, comme l'a expérimenté l'Italie sur quelques molécules concernant le cancer, car il faut trouver un modèle d'intéressement à la performance sur le traitement de la maladie.
Je pense donc que nous sommes capables de financer une partie de cette innovation qui a un coût élevé mais apporte un service considérable.