Bien sûr. Au niveau institutionnel, nous travaillons quasi quotidiennement avec nos homologues allemands de l'Union de l'industrie automobile (VDA) à l'élaboration des trajectoires et de nos arguments auprès des pouvoirs publics européens. S'ajoute à cela des coopérations industrielles compétitives entre les industriels allemands et français. Renault et Daimler coopèrent historiquement. Du reste, Daimler participe au projet Automotive cells company (ACC) de batterie avec Stellantis. Les industries sont bien plus imbriquées qu'il y a quelques années. Nos grands équipementiers, tels que Valeo et Faurecia, équipent considérablement les constructeurs allemands, au point d'être membres associés au VDA.