Nous adoptions également ce point de vue quant à la concentration Alstom-Siemens. Nous considérions que la Commission européenne commettait une erreur d'analyse quant à la concurrence chinoise en suggérant que CRRC n'avait aucune volonté de s'implanter en Europe. Le danger était pourtant réel et la France a cherché à le montrer. Nous avions interpellé la Commission européenne, mais nous n'avions reçu aucun retour.