Merci pour vos propos liminaires. Vous avez évoqué, comme Mme la présidente, la souffrance psychologique des étudiants. Celle-ci est palpable au sein des universités, même si elles ont octroyé un grand nombre de moyens pour prendre en charge la santé et le bien-être des 1,6 million d'étudiants. Pour autant, concrètement, quels sont les outils dont vous disposez ? Nous parlons des cellules d'urgence et de l'aide des collectivités territoriales, mais quels sont les moyens qui peuvent réellement être mis en place au sein des universités pour prendre en charge l'état psychologique des étudiants, sachant qu'un étudiant en souffrance psychologique ne peut pas réussir ses examens ?