La période est propice, car nos jeunes n'en peuvent plus d'être enfermés sur les campus et de travailler à distance. Ils veulent se rencontrer et passer à l'action. Nous avons interdit beaucoup d'activités, et notamment les événements festifs, car ils constituent des lieux à fort risque de contamination, et ils ont besoin de se revoir. Nous devons répondre à ces envies.