Oui . Il est certain que la crise sanitaire a accentué ces sollicitations du fait d'une précarité accrue. Pour autant, en dehors de cette crise, je constate, objectivement, une augmentation de la précarité étudiante qui est corrélée à une ouverture plus large de l'enseignement supérieur, ce qui s'avère fondamental, bien évidemment et par conséquent, à une augmentation du nombre d'étudiants. Nous constatons également une augmentation des difficultés d'ordre psychologique. La vie est, en effet, plus compliquée et la pression exercée sur les jeunes en matière de poursuite d'études notamment est, en outre, plus lourde.