Avant de conclure, je tiens à rendre hommage à des parents confinés dans des hôtels sociaux avec leurs enfants lors de la première crise, qui, à Toulouse, se sont organisés entre eux pour assurer la continuité scolaire, avec le parent qui parlait le mieux le français. Cette prise en charge autarcique doit être saluée. On parle peu de cette parentalité, parce qu'elle est invisible. Je vous remercie.